Flash: Archives

16 January 2025

“2020 Worst Year in History for Air Travel Demand”

Dans un récent communiqué, l’IATA a présenté un sombre bilan de l’année 2020. La demande des passagers de vols internationaux a été 75 % plus basse qu’en 2019 et les réservations en janvier 2021 ont chuté de 70 % comparativement à janvier 2020. L’IATA presse les gouvernements d’agir pour soutenir l’industrie.Pour consulter le communiqué (anglais seulement).

“Canadian Government Urged to Support Aviation Industry”

L’Association du transport aérien international (IATA) souligne le manque de soutien du gouvernement canadien à l’industrie aérienne. L’IATA demande au gouvernement d’intervenir et de fournir une aide d’urgence cruciale pour assurer la survie du secteur. Les principaux obstacles à la reprise des activités demeurent toujours la fermeture des frontières et la quarantaine obligatoire pour les voyageurs.

“New Check & Fly app provides airport health measures to passengers“

Le Conseil international des aéroports (ACI) vient de lancer une nouvelle application mobile pour transmettre des informations aux passagers sur les mesures sanitaires en place dans les aéroports du globe. Cette application permettra aux aéroports de communiquer directement avec les passagers. Les informations seront également disponibles par le biais d’un API.Pour en connaître davantage, cliquez sur ce lien (en anglais).

« 5 Things We Know About Flying Right Now »

Le New York Times a dressé un portrait de l’état de l’aviation aux États-Unis. Cinq éléments sont mis de l’avant, notamment le prix des billets, l’utilisation des sièges centraux et les répercussions sur l’achalandage. On présente également le calcul des risques de transmission du coronavirus dans les avions en vol.

“Sweden plans climate-adjusted airline take-off and landing fees”

La Suède songe à modifier les frais de décollage et d’atterrissage des avions afin de pallier les émissions de gaz à effet de serre. Ces frais seraient établis en fonction du type d’appareil et de carburant. Le gouvernement laisserait les aéroports et les compagnies aériennes décider du fonctionnement du système mais le réglementerait si l’industrie n’arrivait pas à un accord.