Les aéroports vont devoir repenser leurs infrastructures physiques et numériques pour répondre aux demandes des voyageurs après la pandémie. Ce sera une occasion de faciliter et rendre les voyages moins stressants. Les aéroports deviendront des espaces plus flexibles et adaptables.
L’Association du transport aérien international (IATA) souligne le manque de soutien du gouvernement canadien à l’industrie aérienne. L’IATA demande au gouvernement d’intervenir et de fournir une aide d’urgence cruciale pour assurer la survie du secteur. Les principaux obstacles à la reprise des activités demeurent toujours la fermeture des frontières et la quarantaine obligatoire pour les voyageurs.
Le New York Times a dressé un portrait de l’état de l’aviation aux États-Unis. Cinq éléments sont mis de l’avant, notamment le prix des billets, l’utilisation des sièges centraux et les répercussions sur l’achalandage. On présente également le calcul des risques de transmission du coronavirus dans les avions en vol.
La Suède songe à modifier les frais de décollage et d’atterrissage des avions afin de pallier les émissions de gaz à effet de serre. Ces frais seraient établis en fonction du type d’appareil et de carburant. Le gouvernement laisserait les aéroports et les compagnies aériennes décider du fonctionnement du système mais le réglementerait si l’industrie n’arrivait pas à un accord.