Aéroport de Québec – pré-dédouanement
Selon le journal Le Soleil du 10 novembre dernier, « Avec l’élection de Donald Trump à la présidence des États‑Unis et le maintien des républicains au Congrès, le temps presse plus que jamais pour officialiser l’entente bilatérale qui doit permettre la construction d’un centre de pré‑dédouanement à l’aéroport de Québec.
C’est en mars 2016 que le président démocrate sortant, Barack Obama, et le premier ministre canadien, Justin Trudeau, ont annoncé l’ajout de quatre centres de pré‑dédouanement américains au Canada. En plus de l’aéroport international Jean‑Lesage, qui attend le sien depuis des années, l’aéroport Billy Bishop de Toronto ainsi que les gares de Montréal et de Vancouver ont été choisis.
Or il faut l’adoption de lois spécifiques de chaque côté de la frontière pour que ce projet devienne réalité. Au Canada, le projet de loi C‑23 sur le pré‑contrôle de personnes et de biens au Canada et aux États‑Unis a été adopté en première lecture le 17 juin, mais n’a pas bougé depuis.
Le Congrès américain, lui, n’a pas encore appelé la pièce législative requise. Après une pause électorale en octobre, la Chambre des représentants recommence à siéger le 14 novembre, mais pour une courte session ditelame duck (canard boiteux), où le gouvernement en place tentera de faire adopter les projets de loi qui lui sont chers. À peine 16 jours de travail législatif sont prévus d’ici la fin de l’année. Le véritable changement de garde se fera le 20 janvier.
À la rentrée, l’ambassadeur du Canada à Washington, David MacNaughton, a indiqué à la Presse Canadienne qu’il faisait pression pour que le sujet ne soit pas oublié. Jugeant que les républicains comme les démocrates sont favorables à l’élargissement du pré-dédouanement, M. MacNaughton demeurait persuadé de voir le dossier réglé d’ici la fin de l’année. »Selon le journal Le Soleil du 10 novembre dernier, « Avec l’élection de Donald Trump à la présidence des États‑Unis et le maintien des républicains au Congrès, le temps presse plus que jamais pour officialiser l’entente bilatérale qui doit permettre la construction d’un centre de pré‑dédouanement à l’aéroport de Québec.
C’est en mars 2016 que le président démocrate sortant, Barack Obama, et le premier ministre canadien, Justin Trudeau, ont annoncé l’ajout de quatre centres de pré‑dédouanement américains au Canada. En plus de l’aéroport international Jean‑Lesage, qui attend le sien depuis des années, l’aéroport Billy Bishop de Toronto ainsi que les gares de Montréal et de Vancouver ont été choisis.
Or il faut l’adoption de lois spécifiques de chaque côté de la frontière pour que ce projet devienne réalité. Au Canada, le projet de loi C‑23 sur le pré‑contrôle de personnes et de biens au Canada et aux États‑Unis a été adopté en première lecture le 17 juin, mais n’a pas bougé depuis.
Le Congrès américain, lui, n’a pas encore appelé la pièce législative requise. Après une pause électorale en octobre, la Chambre des représentants recommence à siéger le 14 novembre, mais pour une courte session ditelame duck (canard boiteux), où le gouvernement en place tentera de faire adopter les projets de loi qui lui sont chers. À peine 16 jours de travail législatif sont prévus d’ici la fin de l’année. Le véritable changement de garde se fera le 20 janvier.
À la rentrée, l’ambassadeur du Canada à Washington, David MacNaughton, a indiqué à la Presse Canadienne qu’il faisait pression pour que le sujet ne soit pas oublié. Jugeant que les républicains comme les démocrates sont favorables à l’élargissement du pré-dédouanement, M. MacNaughton demeurait persuadé de voir le dossier réglé d’ici la fin de l’année. »Selon le journal Le Soleil du 10 novembre dernier, « Avec l’élection de Donald Trump à la présidence des États‑Unis et le maintien des républicains au Congrès, le temps presse plus que jamais pour officialiser l’entente bilatérale qui doit permettre la construction d’un centre de pré‑dédouanement à l’aéroport de Québec.
C’est en mars 2016 que le président démocrate sortant, Barack Obama, et le premier ministre canadien, Justin Trudeau, ont annoncé l’ajout de quatre centres de pré‑dédouanement américains au Canada. En plus de l’aéroport international Jean‑Lesage, qui attend le sien depuis des années, l’aéroport Billy Bishop de Toronto ainsi que les gares de Montréal et de Vancouver ont été choisis.
Or il faut l’adoption de lois spécifiques de chaque côté de la frontière pour que ce projet devienne réalité. Au Canada, le projet de loi C‑23 sur le pré‑contrôle de personnes et de biens au Canada et aux États‑Unis a été adopté en première lecture le 17 juin, mais n’a pas bougé depuis.
Le Congrès américain, lui, n’a pas encore appelé la pièce législative requise. Après une pause électorale en octobre, la Chambre des représentants recommence à siéger le 14 novembre, mais pour une courte session ditelame duck (canard boiteux), où le gouvernement en place tentera de faire adopter les projets de loi qui lui sont chers. À peine 16 jours de travail législatif sont prévus d’ici la fin de l’année. Le véritable changement de garde se fera le 20 janvier.
À la rentrée, l’ambassadeur du Canada à Washington, David MacNaughton, a indiqué à la Presse Canadienne qu’il faisait pression pour que le sujet ne soit pas oublié. Jugeant que les républicains comme les démocrates sont favorables à l’élargissement du pré-dédouanement, M. MacNaughton demeurait persuadé de voir le dossier réglé d’ici la fin de l’année. »Selon le journal Le Soleil du 10 novembre dernier, « Avec l’élection de Donald Trump à la présidence des États‑Unis et le maintien des républicains au Congrès, le temps presse plus que jamais pour officialiser l’entente bilatérale qui doit permettre la construction d’un centre de pré‑dédouanement à l’aéroport de Québec.
C’est en mars 2016 que le président démocrate sortant, Barack Obama, et le premier ministre canadien, Justin Trudeau, ont annoncé l’ajout de quatre centres de pré‑dédouanement américains au Canada. En plus de l’aéroport international Jean‑Lesage, qui attend le sien depuis des années, l’aéroport Billy Bishop de Toronto ainsi que les gares de Montréal et de Vancouver ont été choisis.
Or il faut l’adoption de lois spécifiques de chaque côté de la frontière pour que ce projet devienne réalité. Au Canada, le projet de loi C‑23 sur le pré‑contrôle de personnes et de biens au Canada et aux États‑Unis a été adopté en première lecture le 17 juin, mais n’a pas bougé depuis.
Le Congrès américain, lui, n’a pas encore appelé la pièce législative requise. Après une pause électorale en octobre, la Chambre des représentants recommence à siéger le 14 novembre, mais pour une courte session ditelame duck (canard boiteux), où le gouvernement en place tentera de faire adopter les projets de loi qui lui sont chers. À peine 16 jours de travail législatif sont prévus d’ici la fin de l’année. Le véritable changement de garde se fera le 20 janvier.
À la rentrée, l’ambassadeur du Canada à Washington, David MacNaughton, a indiqué à la Presse Canadienne qu’il faisait pression pour que le sujet ne soit pas oublié. Jugeant que les républicains comme les démocrates sont favorables à l’élargissement du pré-dédouanement, M. MacNaughton demeurait persuadé de voir le dossier réglé d’ici la fin de l’année. »